1/ Si vous expédiez en Allemagne, alors cette nouvelle norme vous concerne : à partir du 1er juillet prochain, vous devrez être inscrits sur un registre national, cotiser à un éco-organisme local et déclarer chaque année les emballages que vous avez consommés. Sinon, vos colis risquent d’être bloqués… A quand une uniformisation européenne des règles de packaging ? 🥨
2/ Chez V-factory, on pense que la livraison ne doit jamais être présentée comme gratuite, mais qu’elle peut en revanche être offerte au-delà d’un certain seuil de commande. Quand on voit l’impact que cela peut avoir sur une décision d’achat, ce serait bête de s'en priver… Un journaliste américain a cherché à comprendre pourquoi la gratuité nous rend dingo, et c’est plutôt édifiant - à lire par ici. 🤪
3/ Une petite puce peut faire de grandes différences. D’ici la fin de l’année, UPS va déployer des puces RFID dans une centaine de centres de tri. En indiquant en temps réel la localisation des paquets, elles devraient permettre de supprimer près de 20 millions de scans manuels quotidiens pour les employés qui chargent et déchargent les camions… …et de rationaliser et optimiser ainsi la chaîne de livraison. 🤓
4/ La coqueluche américaine du quick commerce serait-elle en train de tomber de son piédestal ? Après avoir levé plus de 2 milliards de dollars, le précurseur Gopuff est dans la tourmente : pertes faramineuses, vagues de licenciements, top management désavoué… la saga est loin d’être terminée. 🍿
5/ Au Royaume-Uni, Zara va désormais facturer les clients qui renverront tout ou partie de leur commande en ligne. £1.95 sera retranchée de leur remboursement, sauf s’ils rapportent les articles en magasin. Un changement sans précédent qui pourrait bien bousculer les us et coutume du e-commerce qui prônaient jusqu’ici les retours gratuits. 🌱
Bonus : parfois, le quick commerce a du bon. Et pour cause : la semaine dernière une membre des Pussy Riot est parvenue à fuir la Russie… …déguisée en livreuse. 💪